Cette fois, pas de légende adaptée à chaque photo mais des généralités sur cet oiseau.
Cette année les grosbecs casse-noyaux (Coccothraustes coccothraustes) sont très nombreux.Comme cela n'est pas si fréquent, j'en ai profité pour les photographier sous toutes les coutures en privilégiant les attitudes dynamiques !
Les premiers sont arrivés vers le 15 décembre et certains sont encore là en ce début du mois d'avril.
Leur nombre varie de quelques individus à plus d'une vingtaine d'unités.
Cela m'a donné l'occasion de réaliser de nombreux clichés de ces oiseaux.
Cette présence régulière permet de tenter des photos dynamiques.
Je peux aussi varier les cadrages.
Les attitudes sont aussi très diverses.
Envol ou atterrissage tout est bon à photographier.
Ce sont de très beaux oiseaux.
Ils prennent des poses très variées.
Relativement gros, ces grosbecs n'en sont pas moins très vivaces.
Je multiplie les heures d'affût et les prises de vues.
Son très gros bec est bien visible et a, sans nul, doute inspiré son nom vernaculaire.
Il appartient à la famille des Fringillidés.
Il consomme surtout des graines très diverses, quelques fruits et bourgeons.
C'est un oiseau assez vindicatif et les rixes sont assez fréquentes autour des mangeoires.
Suivant le climat de leur zone de reproduction, ils sont migrateurs ou migrateurs partiels.
Ces querelles sont parfois assez spéctaculaires.
De profil, sa silhouette dégage une forte impression de puissance.
On peut aussi admirer toutes les nuances de couleurs de son plumage.
Le dimorphisme sexuel est assez marqué, les couleurs du mâle sont plus vives que celle de la femelle. Mâle posé et femelle en vol.
C'est un oiseau forestier.
Il préfere les forêts de feuillus.
Son chant est une suite brève de notes simples peu variées. Il est peu sonore et passe souvent inaperçu.
Accrochage entre 2 femelles.
Même sous la pluie il est élégant.
Dans la lumière du soleil levant.
Pour finir un dernier vol dans le soleil levant.